Un bon résumé des "forces en présences" sur la notion travail.
Effectivement, l'important est d'être aligné avec notre propre ressenti.
En revanche, il me semble, il faut distinguer le travail de l'effort. Un travail peut-être plus ou moins pénible selon sa nature et nul doute qu'il est plus compliqué pour un ouvrier de s'accomplir et donc d'avoir une véritable motivation intrinsèque à aller au charbon, qu'un consultant, ou un programmateur en télétravail, d'autant plus s'il est indépendant. Bref, la motivation est une conséquence de poste.
L'effort, et une sorte d'inconfort associé à l'effort, me semble en revanche un préalable incontournable au vrai bien-être, à l'accomplissement. C'est je trouve, ce qui manque au discours sur le bien-être au travail qui peut être parfois déresponsabilisant.
L'entreprise, et le management doivent prendre toute leur place pour permettre à leurs employés d'accéder à ce bien-être, mais la responsabilité finale (avec l'effort à fournir) en revient à ces derniers.
Un bon résumé des "forces en présences" sur la notion travail.
Effectivement, l'important est d'être aligné avec notre propre ressenti.
En revanche, il me semble, il faut distinguer le travail de l'effort. Un travail peut-être plus ou moins pénible selon sa nature et nul doute qu'il est plus compliqué pour un ouvrier de s'accomplir et donc d'avoir une véritable motivation intrinsèque à aller au charbon, qu'un consultant, ou un programmateur en télétravail, d'autant plus s'il est indépendant. Bref, la motivation est une conséquence de poste.
L'effort, et une sorte d'inconfort associé à l'effort, me semble en revanche un préalable incontournable au vrai bien-être, à l'accomplissement. C'est je trouve, ce qui manque au discours sur le bien-être au travail qui peut être parfois déresponsabilisant.
L'entreprise, et le management doivent prendre toute leur place pour permettre à leurs employés d'accéder à ce bien-être, mais la responsabilité finale (avec l'effort à fournir) en revient à ces derniers.