Merci pour cet article sur la résilience. Deux remarques si vous le permettez.
Si l'on s'inspire de l'origine de ce terme, qui décrit la capacité d'un métal a retrouver sa forme ses caractéristiques antérieures suite à un choc, à une forte absorption d'énergie, comment transposer cela à un individu ou un groupe? Je pense que le retour à l'état antérieur n'est jamais possible pour un être vivant cf les mémoires conscientes et inconscientes, la mémoire traumatique. Avec le concept de résilience j'aime employer le concept de cicatrisation psychique, qui à l'instar de la cicatrisation physique, manifeste la capacité qu'aurait la psyché humaine a garder trace de traumas subis après avoir été réparée, notamment quant à la restauration de sa propre légitimité. Ces traces cicatricielles apparaissent dans notre mémoire quand la blessure d'âme qui nous faisait souffrir a été réparée, transmutée.
Le second point de commentaire porte plus sur une philosophie de vie, et sur le sentiment d'injustice. SI l'on comprend au plus tôt que vivre c'est aussi faire face aux difficultés, aux échecs, aux coups durs, il est peut-être plus facile de récupérer après un choc ou d'une situation blessante, traumatisante. Si l'on a compris au plus profond de soi qu'il y aura des coups durs, cela permet, il me semble d'éloigner le sentiment d'injustice qui peut être ressenti dans ces moments-là. C'est une question qu'il convient d'aborder me semble-t-il avec ses cochants , dans la perspective d'une évolution du point de vue. C'est la question du pourquoi moi ? Et c'est à a suite la question du cercle de contrôle, qui est utiliser pour “booster le mindset“. Dans ce cercle je contrôle mes pensées, mes émotions mes actions. A l'extérieur s'agite et agit tout ce que je ne contrôle pas. Il peut être intéressatn d'amener le coachant à garder avec soi cette réflexion-analyse, et également de lui apprendre symboliquement à revenir dans son cercle de contrôle, justement pour se préserver. Ceci étant, il est essentiel, notamment vis à vis des conditions de travail de renforcer la légitimité pour le coachant à se préserver, voire à défendre sa peau. Apprendre à ré-agir avant d'être submergé, et atteint. Ça peut-être enc hageant de point de vue, en apprenant par exemple (comme évoqué) à transformer ce qui nous submerge en défi, en challenge, mais certain-e-s n'y parviennent pas et là il est important d'apprendre à dire stop.
J'espère que tout cela n'est pas trop trop confus. Corialement Jean-François, alumni LinkUp.
Merci pour cet article sur la résilience. Deux remarques si vous le permettez.
Si l'on s'inspire de l'origine de ce terme, qui décrit la capacité d'un métal a retrouver sa forme ses caractéristiques antérieures suite à un choc, à une forte absorption d'énergie, comment transposer cela à un individu ou un groupe? Je pense que le retour à l'état antérieur n'est jamais possible pour un être vivant cf les mémoires conscientes et inconscientes, la mémoire traumatique. Avec le concept de résilience j'aime employer le concept de cicatrisation psychique, qui à l'instar de la cicatrisation physique, manifeste la capacité qu'aurait la psyché humaine a garder trace de traumas subis après avoir été réparée, notamment quant à la restauration de sa propre légitimité. Ces traces cicatricielles apparaissent dans notre mémoire quand la blessure d'âme qui nous faisait souffrir a été réparée, transmutée.
Le second point de commentaire porte plus sur une philosophie de vie, et sur le sentiment d'injustice. SI l'on comprend au plus tôt que vivre c'est aussi faire face aux difficultés, aux échecs, aux coups durs, il est peut-être plus facile de récupérer après un choc ou d'une situation blessante, traumatisante. Si l'on a compris au plus profond de soi qu'il y aura des coups durs, cela permet, il me semble d'éloigner le sentiment d'injustice qui peut être ressenti dans ces moments-là. C'est une question qu'il convient d'aborder me semble-t-il avec ses cochants , dans la perspective d'une évolution du point de vue. C'est la question du pourquoi moi ? Et c'est à a suite la question du cercle de contrôle, qui est utiliser pour “booster le mindset“. Dans ce cercle je contrôle mes pensées, mes émotions mes actions. A l'extérieur s'agite et agit tout ce que je ne contrôle pas. Il peut être intéressatn d'amener le coachant à garder avec soi cette réflexion-analyse, et également de lui apprendre symboliquement à revenir dans son cercle de contrôle, justement pour se préserver. Ceci étant, il est essentiel, notamment vis à vis des conditions de travail de renforcer la légitimité pour le coachant à se préserver, voire à défendre sa peau. Apprendre à ré-agir avant d'être submergé, et atteint. Ça peut-être enc hageant de point de vue, en apprenant par exemple (comme évoqué) à transformer ce qui nous submerge en défi, en challenge, mais certain-e-s n'y parviennent pas et là il est important d'apprendre à dire stop.
J'espère que tout cela n'est pas trop trop confus. Corialement Jean-François, alumni LinkUp.